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Archive for décembre 2011

 

Le premier but d’un utilisateur pour participer aux activités du web n’est pas nécessairement de partager du contenu mais de profiter des résultats de ce partage. Par exemple, le billet est le produit dans un blog  qui peut être considéré lui-même comme une activité ou un produit selon le point de vue  de  l’utilisateur qui en bénéficie.

« Sur le web, le terme « contenu » (content) désigne souvent un texte, un lien, une image ou un enregistrement effectué et partagé par un individu ou par un groupe.« (notes de cours)

Le web social passe par la participation des utilisateurs qui créent les contenus sous formes de textes. Ces textes déposés dans un blog, appelés billets, reçoivent des commentaires des visiteurs qui ont un intérêt sur le sujet.

« Le contenu textuel peut sembler simpliste par rapport aux contenus riches et complexes qui sont créés et diffusés sur le web actuel. Pourtant, le contenu textuel conserve une valeur très importante sur le web, y compris dans le web participatif.« (notes de cours)

La participation au contenu est une excellente façon de s’impliquer dans les médias sociaux comme dans un blog afin de profiter des échanges entre billets et commentaires. Ce dialogue peut avoir l’effet d’un soin humain pour l’utilisateur qui y dépose une confidence ou qui reçoit un réconfort par la lecture des commentaires.

 

Mes sources

http://benhur.teluq.uquebec.ca/SPIP/inf6107/spip.php?article=66&rubrique=11

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En réponse à Soulou dans son blog appelé « Soulou’s Home Un petit blog« 

Voici son billet traduit de l’anglais avec le bookmarklet « traduis-moi ça !«  :

« L’éthique des hackers nous rappelle aussi, au milieu de toutes la réduction de la valeur individuelle et la liberté qui se passe dans le nom de «travail», que notre vie est ici et maintenant. Le travail est une partie de notre vie en permanence en cours, dans lequel il doit y avoir place pour d’autres passions, aussi. Réformer les formes de travail est une question non seulement de respecter les travailleurs, mais de respecter les êtres humains comme des êtres humains. Les pirates ne souscrivent pas à l’adage «le temps c’est de l’argent» mais plutôt de l’adage «c’est ma vie». Et c’est  certainement  aujourd’hui, que nous devons vivre pleinement, et non pas une version bêta dépouillée.« 

« L’éthique des hackers est basée sur une série de présupposés à valeur morale. L’expression hacker ethic désigne un ensemble de valeurs et de principes partagés par la communauté des hackers« (notes de cours)

« L’anthropologue français Claude Lévi-Strauss a utilisé la notion de « bricolage » pour désigner une part importante de ce qu’il appelle la « pensée sauvage », cette pensée débridée qui sort de la pensée formelle. Dans certains milieux de recherche anglophones, le terme « bricolage » est même emprunté au français pour désigner ce type de pensée. On pourrait alors parler de « bricoleur d’idées », une notion qui est directement compatible avec l’« éthique hacker ».« (note de cours)

Selon Levy, les principaux tenants de cette éthique sont, pour résumer, le partage, l’ouverture, la décentralisation, l’accès à la technologie et l’amélioration du monde.

La pensée hacker peut être appliquée à la réalité et être utilisée pour le soin humain.

Alors, il est possible de créer une nouvelle façon de se procurer du réconfort dans les médias sociaux et même dans les blogs dédiés en utilisant cette liberté d’échanges, confidences et commentaires,  tout comme ces bricoleurs d’idées. Comme l’affirme Soulou dans son blog, ce respect des êtres humains peut contribuer à améliorer leur santé et par le fait même leur vie.

Mes sources

http://soulou.fr/blog/

http://benhur.teluq.uquebec.ca/SPIP/inf6107/spip.php?article=65&rubrique=11

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En réponse au billet de Ahmed Saber :« Culture participative et démocratisation culturelle « 

Je cite : « La démocratisation de  la culture à travers trois mécanismes: la création de contenu facile, la distribution et un meilleur processus d’édition.« 

Selon les notes de cours« En anthropologie culturelle, le terme « culture » a longtemps désigné un type particulier de groupe humain ainsi qu’un ensemble d’éléments liés à ce groupe : croyances, coutumes, comportements, etc .« 

L’approche ethnographique prend son ancrage dans le contexte. Les médias sociaux sont le contexte de culture dont on parle où l’ensemble des utilisateurs participent aux échanges d’information pour la démocratisation.

Sur mon blog « `Soigneraveccoeur« `, ces échanges se transforment en dialogue à l’aide de confidences et de commentaires  où les participants peuvent en bénéficier comme s’ils recevaient un soin humain.

Mes sources

Culture participative et Démocratisation culturelle

http://benhur.teluq.uquebec.ca/SPIP/inf6107/spip.php?article=33&rubrique=11

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Une vie sociale en ligne est possible, que ce soit personnel ou institutionnel. De plus en plus, l’identité des individus est connue dans les médias sociaux et les institutions sont composées d’individus.

Sur le web, l’importance de l’activité se mesure par la réputation et l’influence. Par exemple : « Si mon identité fait référence à ce que je projette ou à la façon dont je me représente (ce que je dis sur moi), la réputation correspond plutôt à ce que les autres disent de moi.«  « La notion d’« influence » est liée à celle de réputation.« (notes de cours)

Se créer une certaine popularité peut être un travail ardu et de longue haleine comme cela peut aussi  être un coup de chance qui se produit subitement.  Par exemple, une personne peut essayer d’augmenter la popularité de son blog  jour après jour et à un moment donné, sa visibilité augmente de façon fulgurante à la suite de la publication d’un billet qui est lu par un individu central d’une institution qui s’y intéresse au plus haut point. Ce dernier devient  le publicitaire positif en papillon de cet article qui fait multiplier les visites vers ce blog.

Alors, pour que mon blog « Soigneraveccoeur«  devienne très visible sur le web afin d’ aider le plus grand nombre de personnes, je devrai utiliser la stratégie de multiplier les billets sur le dialogue comme un soin humain de santé grâce aux commentaires. Je dois faire confiance à ma bonne réputation et à l’influence des lecteurs et commentateurs afin d’arriver à une grande influence pour une transmission à grande échelle.

Mes sources

http://benhur.teluq.uquebec.ca/SPIP/inf6107/spip.php?article=74&rubrique=10

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±VIE PRIVÉE / ±VIE PUBLIQUE vs RÉSEAUX SOCIAUX

En réponse au blog AGC Informer Dialoguer Convaincre, au sujet du billet suivant :

«  Nous croyons en Google+ (partie 2) pour le respect de la vie privée sur les réseaux sociaux.« 

 

On y relate les énoncés suivants :

« Sans surprise, Google+ a su comprendre ce qui ne plaisait pas aux utilisateurs de Facebook : le non-respect de la vie privée.« 

« Le terme «ami» dans le contexte des sites de réseau social n’est pas le même que dans la vie quotidienne. Et les gens le savent. C’est pourquoi ils ont l’habitude de dire des choses amusantes comme «Eh bien, il est mon Friendster, mais pas mon ami » .« 

Alors, Internet est-ce public ou bien est-ce privé? Comment négocier les impacts sociaux de la vie publique sur Internet ?

Selon ce que a publié Gwenaël Brisé de l’équipe AGC Communications  dans Actualité et opinion publique, Réseaux sociaux, Web 2.0 et les nouvelles façons de communiquer, une question se pose :« Êtes-vous la même personne au travail, chez vous et avec vos amis ? Abordez-vous les mêmes discussions ? Développez-vous les mêmes relations ? Il semble que non, et c’est bien normal, nous nous adaptons à notre milieu social.« 

Aussi, il y a une énorme différence entre la vie privée et la vie publique dans la vraie vie et encore plus quand on fait référence à la vie privée ou publique sur les réseaux sociaux.

Selon Myriam Dumortier, chargée de projets pour AGC, «Le dialogue est aujourd’hui une avenue incontournable à l’instauration de communication franche et transparente. »

Est-ce que le dialogue se produit seulement dans la vie privée ou est-il possible dans la vie publique, que ce soit dans la vie de tous les jours ou sur les réseaux sociaux ?

Le dialogue existe réellement dans la vie de tous les jours entres différentes personnes qui se connaissent beaucoup ou très peu, quelque soit  le milieu où elles se retrouvent pour échanger. De même, le dialogue peut exister dans les réseaux sociaux, privés ou publics, et aussi de plus en plus dans les blogs par l’intermédiaire de commentaires. Les gens peuvent se raconter et se faire réconforter par les commentaires qu’ils reçoivent en retour car ils se sentent écoutés, cela leur donne la sensation de recevoir un soin humain pour une meilleure santé.

À mon avis, il est possible de communiquer en privé sur les réseaux sociaux à l’aide de certaines technologies, les messages privés ou le « chat«  personne à personne. Mais exactement comme si on allait cacher un message dans un coin de centre d’achat, quelqu’un qui connait bien la bâtisse pourrait un jour le retrouver, il est possible pour des utilisateurs aguerris de retrouver ces messages soit disant privés qui sont sur le web. Je crois que les gens sont assez conscients que le privé et le public se confondent sur Internet.

 

Mes sources

http://benhur.teluq.uquebec.ca/SPIP/inf6107/spip.php?article=73&rubrique=10

http://www.danah.org/papers/FacebookAndPrivacy.html

http://agcblog.com

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En réponse au billet de Shanielle en ce qui concerne les amis et les amis des amis de Facebook.

Voici, ci-après, les deux paragraphes de son billet qui m’intéresse davantage pour argumenter au sujet des groupes sociaux où il y a un dialogue plus ou moins soutenu.

« Facebook crée cette illusion fausse que les amis « acceptés » sont nos vrais amis, en dénaturant le sens même du mot « amis ». Il est important dans ce sens de faire un tri avec « la liste d’amis », fonctionnalité offerte sur Facebook, afin de gérer la confidentialité des infos et contenus.

Nous pouvons également faire la différence entre les liens « puissants » tels que la famille, les amis de « la vraie vie » et les liens « faibles » qui peuvent être les amis des amis, des connaissances, etc.« 

En fait, les amis doivent interagir entre eux assez régulièrement pour être considérés comme faisant partie d’un groupe social. En outre, ce ne sont pas tous les amis qui communiquent entr’eux, il y a beaucoup d’amis observateurs et invisibles, les lurkers.

Selon les notes de cours : « Dans le web social, le terme « communauté » est utilisé à toutes les sauces. Il désigne souvent tout groupe social en ligne, sans égard à la structure de ce groupe ou à son importance pour ses membres. Une communauté est un groupe social qui peut contribuer de façon significative à l’identité de ses membres « . (Les soulignés sont de l’auteure)

Alors, on pourrait considérer que tous les amis de Facebook font partie d’une communauté, la communauté Facebook. En effet, on entend souvent les gens dire qu’ils font partie de Facebook, sentiment d’appartenance.

Comme dit le dicton« les amis de mes amis sont mes amis« , il est plus facile de créer de nouveaux contacts amis et ainsi de modifier  son groupe d’amis pour en avoir le plus possible. Selon, un autre dicton très connu« plus on est de fous, plus on rit« , le dialogue est donc favorisé par un plus grand nombre d’amis. En effet, plus il y a d’utilisateurs amis, plus il y a de possibilités de convergences d’intérêts et plus grande est l’ouverture au dialogue et même aux confidences. C’est le cas aussi pour les groupes sociaux formés sur les blogs que l’on nomme alors, communauté d’intérêts. En effet, l’auteur du blog public permet les échanges à l’aide de commentaires sur un sujet ciblé. Les bienfaits peuvent être perçus, autant par les confidents que par le lectorat.

Bien sûr, il y a des risques à utiliser les médias sociaux comme Facebook ou autres, mais il y en a partout des risques et pratiquement pour tout. Il suffit de suivre des règles de sécurité, telle qu’énoncées à une multitude d’endroit sur le web et les risques seront presque nuls. J’ai placé  un lien dans mes sources qui montre l’implication du gouvernement du Canada en matière de sécurité sur le web.

Avec un pseudonyme, les internautes, amis sur facebook ou sur un blog de leurs intérêts, peuvent se faire des confidences personnelles et recevoir des commentaires aidants comme s’ils recevaient un soin humain.

Mes sources

http://nomadisme-numerique.blogspot.com/2011/12/qui-sont-mes-amis-sur-facebook.html

http://benhur.teluq.uquebec.ca/SPIP/inf6107/spip.php?article=31&rubrique=10

http://www.pensezcybersecurite.gc.ca/knw/knw-fra.aspx

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Selon Wikipédia, l’encyclopédie : « Un réseau social est un ensemble d’identités sociales telles que des individus ou encore des organisations reliées entre elles par des liens créés lors des interactions sociales…L’expression « médias sociaux » recouvre les différentes activités qui intègrent la technologie, l’interaction sociale (entre individus ou groupes d’individus), et la création de contenu.  Les médias sociaux utilisent l’intelligence collective dans un esprit de collaboration en ligne. Par le biais de ces moyens de communication sociale, des individus ou des groupes d’individus qui collaborent, créent ensemble du contenu Web, organisent le contenu, l’indexent, le modifient ou font des commentaires, le combinent avec des créations personnelles.« 

En fait, un  réseau social est un service basé sur le web qui permet aux individus  de se construire un profil public ou semi-public au sein d’un système et d’articuler une liste d’utilisateurs ou d’amis auxquels ils sont reliés, de voir et de naviguer à travers leurs propres relations et celles faites par les autres utilisateurs. La nature et la nomenclature de ces réseaux peuvent varier d’un site à l’autre. Dans les blogs, nous savons que les réseaux se constituent naturellement entre les utilisateurs.

Christine Rosen, éditrice sénior dans « The New Atlantis« , mentionne dans son article « Amitié virtuelle et le narcissisme«  que : « Nous devrions également prendre note que la tendance est l’abandon du face-à-face pour le contact virtuel et, dans certains cas, une préférence pour le second. Aujourd’hui, beaucoup de nos interactions culturelles, sociales et politiques se tiennent par le biais technologique« 

Effectivement,  pour éviter d’aller à la banque, les gens font leurs transactions par Internet, et pour éviter de se déplacer pour aller dans une librairie, il navigue sur Amazon.com. Dans la même optique, les réseaux sociaux constituent un palliatif commode au manque d’amis réels en donnant la possibilité de former des communautés d’amis virtuels. Ces communications virtuelles peuvent être franchement valorisantes et même aidantes pour plusieurs individus. Que ce soit Facebook, MySpace, LinkedIn, ou autres, plus un réseau social permet la diffusion d’informations entre les utilisateurs qui ne se connaissent pas déjà, plus il est sociable, on parle alors de réseautage.

Quand les gens ont  besoin de se confier, ce sont des amis ou d’une famille qu’ils ont  besoin, leur réseau social réel. Mais, de nos jours le réseau social réel de chaque individu se trouve largement restreint par le fait que le nombre d’enfants par famille est considérablement diminué. Le nombre d’amis réels que chaque individu peut considérer comme tels, se compte facilement sur les doigts d’une main. Pas besoin de références pour le prouver, tout le monde le sait.  Alors, l’intelligence humaine s’est créé un réseau social virtuel, question de survie si on tient compte des 14 besoins fondamentaux de Virginia Henderson, la communication est vitale. « Le besoin de communiquer est une nécessité qu’a l’être humain d’échanger avec ses semblables. Il met en branle un processus dynamique verbal et non verbal permettant à des personnes de se rendre accessibles l’une à l’autre, de parvenir à la mise en commun de sentiments, d’opinions, d’expériences et d’informations« .

À défaut d’une grande famille élargie, les gens bénéficient d’un réseau social enrichi grâce à tous ces sites de réseautage social où ils peuvent se confier à visage découvert ou en toute intimité par l’intermédiaire de pseudonymes. Les commentaires qu’ils reçoivent en retour peuvent donner un sens aux évènements qu’ils vivent ou à ceux qu’ils ont vécus. Le dialogue virtuel ou ces partages de commentaires peuvent même les aider à maîtriser leurs problèmes et à trouver des façons de s’en sortir. On peut facilement qualifier de soins humains cette façon de réconforter le lectorat  par une confidence ou un commentaire. En effet, cette aide à améliorer les conditions de vie est une autre façon de contribuer à une meilleure santé.

Offrir l’occasion d’aider les autres pour un soutien émotif par un simple échange de commentaires, voilà ce qu’un réseau social peut faire pour les gens qui ont besoin de soins humains.

 

Mes sources

http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9seau_social

http://ifcs.jeun.fr/t846-les-14-besoins-fondamentaux-de-virginia-henderson

http://benhur.teluq.uquebec.ca/SPIP/inf6107/spip.php?article=61&rubrique=9

Boyd, DM, et Ellison, NB (2007). Les réseaux sociaux:. Définition, histoire, et l’érudition Journal of Computer-MediatedCommunication,13(1),l’article11. http://jcmc.indiana.edu/vol13/issue1/boyd.ellison.html

Virtual Friendship and the New Narcissism

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En réponse au  texte d’un blog français « MGEN Ma santé et moi« 

Le sujet de mon billet est l’objet social et dans ce cas-ci, l’objet social est ce texte sur l’écoute et le dialogue que je vais commenter un peu plus en avant et publier sur mon blog. Grâce à son permalien, on pourra faire un lien vers lui et en discuter à distance. Une conversation directe ou indirecte pourra également se faire via les hyperliens.

Tout d’abord, afin de préciser, pour que l’on puisse identifier  ce qu’est un objet social, nous avons 5 étapes à respecter selon Jyri Engeström.

Première étape : Définir l’objet.  Quel est l’objet ? Dans ce cas-ci, c’est un texte, un ensemble de mots qui constitue un écrit selon le site web « www.dictionnaire.com« .

Deuxième étape : Définir un verbe. Quel est le verbe ? Un texte, on peut le créer, le partager, le publier, le lire, souvent le commenter directement.

Troisième étape : Faire pour que les objets sociaux soient partageables. Comment les gens partagent l’objet ? Un texte peut se partager à l’aide de permaliens ou d’ hyperliens.

Quatrième étape : Tourner des  invitations en cadeau. Quel est le cadeau dans invitation? Gratification à la participation. Créer la possibilité de tenir des conversations autour de l’objet qui est dans ce cas-ci, un texte, par l’intermédiaire de commentaires qui peuvent être aidants pour les participants.

Cinquième étape : Êtes-vous chargé de publicitaires ou de visiteurs ? Il est préférable d’avoir plus de visiteurs pour augmenter le lectorat  pour l’objet social, tel un texte que de crouler sous publicités.

Voilà, selon les 5 étapes de Engeström, un objet social est nommé ainsi  que s’il peut être partagé par les utilisateurs des médias sociaux. Quoi de plus facile que de partager un texte en semant partout, sur le web, l’URL pour y accéder à l’aide des mots clés et des moteurs de recherche. Selon Jyri Engeström,  un réseau social est  une carte de relations entre les individus.

Effectivement, c’est de cette façon que j’ai trouvé ce texte sur l’ « Écoute«  et le « Dialogue« .

Nous taire pour mieux vous écouter … Texte posté il y a 204 jours par Anne-Marie Harster, déléguée nationale française.

Cet objet social, partagé, démontre bien la volonté des français de prioriser le dialogue et  le partage des points de vue pour l’amélioration de leur condition de santé. Cette solidarité répondait à leurs besoins et à leurs attentes. Selon l’annonce faite sur leur blog, le groupe mutualiste MGEN a lancé une démarche d’écoute et de dialogue sur la santé. Ils ont organisé des séances d’écoute afin de permettre aux gens de s’exprimer sur ce qui les préoccupe et d’apporter des suggestions de solutions pour l’amélioration des soins de santé. Ils tiennent compte des enjeux environnementaux et sociétaux,  tels la fatigue psychologique et le stress, la santé au travail, le vieillissement de la population. La MGEN veut renforcer les valeurs d’humanisme et de solidarité pour briser l’individualiste et l’isolement social.

Quand on fait la lecture de ce texte, on se sent moins seul au monde. On voit bien que les mêmes problèmes sociaux vécus au Québec, Canada, se vivent aussi dans d’autres pays et que les médias sociaux peuvent aider les gens. En effet, tous  peuvent s’en inspirer pour essayer d’améliorer leur condition de vie et de santé.

Que ce soit publié à petite ou à grande échelle, un texte qui est un ensemble de mots contenant le récit de faits ou même une confidence, est un objet social qui peut être partagé par les médias sociaux. Cette écoute sociale manifestée par des commentaires peut aider les gens comme s’ils recevaient un soin humain.

Sources

http://www.le-dictionnaire.com

http://www.mgen-masanteetmoi.fr/nous-taire-pour-mieux-vous-ecouter-%e2%80%a6/

http://benhur.teluq.uquebec.ca/SPIP/inf6107/spip.php?article=62&rubrique=9

 

 

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Pour répondre au billet de Émilie Corriveau

Un panorama des médias sociaux : quelle bonne idée!

Effectivement, je suis aussi émerveillée à la vue de ce panorama présenté par Fred Cavazza. Cette vue d’ensemble permet d’apprécier cette multitude de logos. Il y en a pour tous les goûts, tous peuvent se servir, les utiliser et même en créer d’autres. Les logos qui m’intéressent le plus, ce sont ceux qui procurent l’accès aux plateformes sociales  parce qu’elles permettent davantage les liens entre les individus par le dialogue

De ce fait, j’apprécie au plus au point le descriptif présenté par Émilie dans son blog, le voici :

« Descriptif des quatre domaines d’application :

  1. Les outils d’expression permettent à un individu de prendre la parole, de discuter et plus généralement à agréger sa production;
  1. Les services de partage permettent de publier et de partager du contenu;
  1. Les services de réseautage servent à mettre en relation les individus;
  1. Les services de jeux en ligne qui intègrent maintenant des couches sociales très développées.«  Les soulignés sont de l’auteur.

Pour ce qui est de l’évolution du panorama des médias sociaux, Frédéric Cavazza a publié sur son blog en décembre 2010, un panorama des médias sociaux  2011.

Tout d’abord, on y voit une représentation du panorama des médias sociaux de 2008 où le média social est au centre, mais sans nom, entouré de plusieurs logos.

En 2009, on y voit un panorama des médias sociaux où les plateformes sociales de différents noms sont au centre et entourées d’une multitude de logos assez bien classés par catégories.

Pas de représentation de panorama des médias sociaux pour 2010, est-ce que ça va trop vite ?

Il nous présente ensuite le panorama des médias sociaux 2011 avec Facebook et Google qui dominent au centre de plusieurs regroupements de nombreux logos qui sont tous reliés d’une façon ou d’une autre à ces deux géants que sont Facebook et Google. Voici le lien ci-dessous.

http://www.mediassociaux.fr/2010/12/13/panorama-des-medias-sociaux-2011

Frédéric Cavazza avance que : « Facebook  peut être considéré comme le supermarché des médias sociaux« , mais il ajoute qu’il peut être réducteur de l’utiliser uniquement sous l’angle qu’il propose. Il ouvre la porte sur  une façon de faire plus subtile de l’utilisation des réseaux sociaux. Je suis d’avis que le blog est une excellente plateforme pour le dialogue qui permet aux individus de s’épancher et de recevoir en retour des commentaires qui peuvent avoir l’effet d’un soin humain.

Sources

http://benhur.teluq.uquebec.ca/SPIP/inf6107/spip.php?article=63&rubrique=9

http://ecorriveau005.blogspot.com/2011/11/un-panorama-des-medias-sociaux-quelle.html

http://www.fredcavazza.net/2009/04/06/une-nouvelle-version-du-panorama-des-medias-sociaux/

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La confiance et la crédibilité font partie de la personne qui juge si une confidence est vraie ou non. Bien sûr, il est plus facile et surtout plus rapide d’y croire que de tenter d’en faire la preuve. De plus, les révélations provenant des réseaux sociaux sont le plus souvent anonymes, donc peu vérifiables.

Mais le besoin d’y croire en toute confiance est justifié par cette nécessité urgente d’avoir un guide ou un exemple à suivre qu’ont  les gens qui vivent  le même genre de situation. Cette consommation rapide de l’information  les amène à se forger une vision,  le plus souvent idéalisée de la vie. Ils se servent des expériences racontées pour se donner du  courage à essayer d’améliorer leur situation comme s’ils recevaient un conseil de soins humains.

Citation du module4« L’émergence des réseaux sociaux sur le web crée une redistribution des normes  de croyance et l’explosion des blogues, par exemple, en a été à la fois la grande cause et la conséquence« 

En effet, le blog fait plus personnel, un peu comme une invitation dans notre salon, endroit propice à la confidence. Ce milieu convivial, même amical, inspire confiance où la crédibilité est l’ingrédient essentiel pour sa réussite.

Source

http://benhur.teluq.uquebec.ca/SPIP/inf6107/spip.php?article=67&rubrique=8

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