Le dialogue pour contrer le rejet

Quoi de mieux que de faire une confidence et de recevoir un commentaire pour se sentir compris comme lorsqu’On reçoit un soin humain par une bonne écoute.
Un bon exemple d’offre d’écoute est sans contredit la chanson de

François Lachence à Star Académie 2012 avec sa chanson  »J’suis là »   http://www.youtube.com/watch?v=rEylvyPS_Cw  qui s’adresse à son chum qui n’a pas l’air de filer. Peut-être que son chum vit du rejet de la part de sa blonde mais heureusement, une autre porte s’ouvre pour qu’il puisse se confier et se faire réconforter sans être jugé.
C’est une opportunité de pouvoir se raconter sur les réseaux sociaux et encore plus sur un blog dédié comme Soigneraveccoeur afin de recevoir des commentaires encourageants. On vous écoute avec coeur.

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Activité B

Liens entre les composantes de mon initiative

Voici une vision schématique des composantes de mon activité de partage.  Il démontre que pour chaque billet présenté sur mon blog j’ai mené une campagne de référencement sur les plateformes Twitter, Facebook, Diigo et parfois sur d’autres blogs, en interaction avec un contenu complémentaire.

Composant	URL
Blog	https://soigneraveccoeur.wordpress.com/
Page	http://www.diigo.com/profile/musica1
Twitter	http://twitter.com/#!/Musica55
Facebook	http://www.facebook.com/profile.php?id=589264393

Description des activités

L’activité B consistait en l’enrichissement de mon site web (blog) par divers billets de mon cru incluant un volet réseautage.  Au cours de ce volet j’ai aussi bien interagi avec des contenus existants que travaillé pour l’amorçage de discussions communautaires.

J’ai découvert que même si toutes les activités étaient présentes tout au long de ce travail, 3 phases avaient prédominé dans ce processus : le réseautage dans lequel prédominent la recherche et les prises de contact, le développement de contenu dans lequel prédominent la création et la promotion du contenu et finalement la consolidation dans laquelle prédominent les interactions sociales plus fines sur le contenu.

Phase de réseautage

Voici le fil conducteur des activités menées afin de choisir et d’établir ma communauté d’affinité.  J’ai d’abord recherché du contenu d’intérêt et je me suis directement intéressée à leur auteur avec qui je suis entrée en relation.  Ensuite cette relation m’a amenée a interagir avec le contenu supplémentaire de l’auteur sur d’autres plateformes et aussi parfois, à obtenir la rétroaction de cet auteur directement sur mon blog.

D’autres fois, j’ai directement interagi sur le contenu via les formulaires de commentaires ce qui m’a mise automatiquement en relation avec la communauté intéressée par ce sujet.  Par exemple, je recherche un contenu qui est pertinent, j’ajoute de l’information complémentaire ou encore un encouragement fortifiant, d’autres internautes me répondent et s’intègrent ainsi dans ma communauté d’intérêts. Alors ils recevront les nouvelles notifications lors de mes nouvelles publications et le cycle continue.

De plus, j’ai aussi identifié certaines personnes influentes de ma communauté québécoise afin de tenter ma chance au partage universel de mon contenu !

Recherche de contenu intéressant

Le thème pour lequel je souhaite développer un contenu et intéresser une communauté est : Soigner avec cœur.  Cela comprend certaines sous-thématiques telles que :

•    Être à l’écoute de l’autre, leitmotiv pour une société en santé
•    L’utilisation du dialogue comme outil pour améliorer l’aspect humain des soins
•    La confidence sociale et les commentaires comme indicateurs de problématiques de santé
•    Le dialogue comme amorce de traitement
•    Crédibilité des confidences dans les réseaux sociaux
•    L’influence du dialogue social sur la santé des internautes sociaux
•    Les dimensions culturelles et sociales des pratiques de santé à l’âge de l’Internet

Interaction sur le contenu

J’ai fréquemment interagi sur le contenu, c’est-à-dire posté des commentaires pour des billets d’intérêts sur d’autres blogs, mais il y a parfois une latence avant que les commentaires ne soit publiés à cause de l’approbation.  Il faut faire attention à la nature pas trop promotionnelle du message sinon on risque de ne pas être publié !  Je l’ai constaté à mes dépens.

J’ai aussi commenté certains messages de Facebook et retweeté des articles d’intérêts.  À chaque fois mon identification de blog était bien visible pour les personnes intéressées à me visiter.

Identification des auteurs

Une fois quelques articles trouvés, à la fois en lien avec ma thématique et en lien avec les modules du cours, j’ai pu en identifier les auteurs grâce à une recherche minutieuse sur le site en question.  Parfois une adresse courriel, parfois un compte Twitter ou Facebook ou encore un simple formulaire de contact m’ont permis d’interagir de manière plus personnelle avec les auteurs.

Phase de développement

Cette phase comporte la rédaction des 15 billets et leur promotion spécifique à la fois sur la communauté d’affinités et auprès des médias de la manière suivante.

Voici mes cibles dans ma communauté d’affinités

Composant	Cibles de la communauté d’affinité
Diigo	Quelques étudiants du groupe-cours
Twitter	CanadaNurses, tweet public général
Facebook	Innu Metshkenu, ma famille, Cabano,Natifs du Bas St-Laurent, publication sur mon mur pour lecture générale

 

Voici mes cibles dans la communauté de médias

 

Composant	Cibles de la communauté de médias
Twitter	Lise Watier, Sophie Thibeault,  Denis Levesque, Dan Bbigras, La presse, Marylin Bastien, Max Landry, Lise Watier, missjoanofart, Julie Snyder, Stéphane Laporte, Félix Séguin, Lyne Robichaud, MacBella2
Facebook	Denis Lévesque

Phase de consolidation (et d’intégration)

Voici par exemple le processus ‘social’ utilisé lors de l’interaction plus poussée avec la communauté.

Présentation des statistiques

Voici les statistiques de visites journalières

Voici les statistiques de visites hebdomadaires

Voici les statistiques  de visites mensuelles

J’ai l’impression que mon blog a connu des pointes de popularité au moment même où les articles venaient d’être publiés, et aussi lorsque je prenais la peine d’interagir avec les autres blogs. C’est seulement lorsque la ‘nouvelle est fraiche’ que les visiteurs viennent.
Il est attendu que mes visiteurs proviennent principalement du Québec puisque c’est là que j’ai fait ma campagne de promotion. C’est aussi un peu le fait de la barrière de langage, puisque je m’exprime principalement en français. J’attendais également des visiteurs de la France étant donné WordPress.com et aussi mes hyperliens sur le site masanteetmoi.fr. Cependant je n’ai pas pu vérifier ces hypothèses car le module de statistiques de WordPress ne présente pas les origines des visiteurs et il n’est pas possible pour le moment d’installer Google Analytics sur un blog WordPress.com.

Présentation des référents

L’analyse des référents montre que Google n’est pas vraiment le vrai responsable de mon trafic. C’est plutôt à Facebook et aussi à masanteetmoi que revient cet honneur. C’est dû à la quantité astronomique de liens que j’ai laissés sur ces deux plateformes et à leur fréquentation élevée par ma communauté d’intérêts. Cependant on constate que les clics sont bien répartis entre toutes les plateformes où j’ai publicisé mon activité, donc c’est l’ensemble des médias sociaux qui sont responsables de mon trafic.

Analyse de la visibilité de mon initiative

Le choix de la plateforme

Le choix de WordPress.com en tant que plateforme a aidé ma visibilité de plusieurs manières. J’ai appris que cette plateforme a pour effet de référencer automatiquement le site sur Google.com, de sorte que lorsque j’ai voulu faire indexer mon site avec la page http://www.google.fr/addurl/ j’ai en fait remarqué qu’il était inutile de le faire puisque le site était déjà listé par Google. Trois raisons possibles peuvent expliquer ce phénomène :
• Soit Google a trouvé le site sur la page d’accueil de wordpress.com qui liste les tout derniers blogs créés.
• Soit Google a trouvé mon site grâce aux divers hyperliens y menant dont j’ai parsemé le web via mes commentaires et aussi mes fils RSS publics
• Soit Google a appris l’existence de mes nouveaux articles grâce à cet outil nommé ‘Ping-o-matic’ qui dit-on, accélère l’indexation des nouveaux articles. (http://alexad.over-blog.com/article-comment-savoir-si-vous-etes-reference-par-google-40602070.html)

Utilisation des permaliens, des étiquettes et des fils RSS

Sur ma plateforme, j’ai pu utiliser des permaliens (hyperliens permanents) afin que les liens menant à mes articles ne soient jamais brisés. Ceci favorise la construction de ma communauté d’intérêts et le retour de mon éventuel lectorat.

J’ai aussi eu l’occasion d’étiqueter mon contenu afin d’en organiser la ‘folksonomie’ et ceci permet la navigation de mes articles par mot-clé. Ceci peut favoriser la rétention de mes visiteurs en leur permettant d’aller plus loin dans leur exploration du sujet présenté.

Enfin, la rétention de mon lectorat, la construction de la relation entre moi, la blogueuse, et les autres participants se fait via l’outil de fil RSS qui leur permet d’être avertis automatiquement lorsque je publie un nouveau billet.

La nature des interactions

Lorsque mes commentaires sont plus détaillés et personnels, cela semble avoir un effet plus prononcé sur mes visites reçues comme lorsque j’envoie des courriels personnels aux auteurs ou lorsque je commente avec plus de détails un article lu. Cependant lorsque mes commentaires sont trop simples tels que ‘Article très intéressant’ cela n’amène que très peu d’interactions. D’où l’importance de construire un dialogue personnalisé et pertinent.

Les sujets des articles

Les articles plus reliés à la technologie (pour les besoins du cours) étaient moins en accord avec les besoins de ma communauté d’intérêts et par conséquent, ils ont reçus moins de visites et moins de commentaires. C’était vraiment lorsque les sujets s’intégraient dans mon environnement plus ciblé que j’ai pu développer une discussion pertinente, par exemple lors de mon interaction sur l’intimidation scolaire.

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Dialogue sur les réseaux sociaux

Selon Wikipédia, l’encyclopédie : « Un réseau social est un ensemble d’identités sociales telles que des individus ou encore des organisations reliées entre elles par des liens créés lors des interactions sociales…L’expression « médias sociaux » recouvre les différentes activités qui intègrent la technologie, l’interaction sociale (entre individus ou groupes d’individus), et la création de contenu.  Les médias sociaux utilisent l’intelligence collective dans un esprit de collaboration en ligne. Par le biais de ces moyens de communication sociale, des individus ou des groupes d’individus qui collaborent, créent ensemble du contenu Web, organisent le contenu, l’indexent, le modifient ou font des commentaires, le combinent avec des créations personnelles.« 

En fait, un  réseau social est un service basé sur le web qui permet aux individus  de se construire un profil public ou semi-public au sein d’un système et d’articuler une liste d’utilisateurs ou d’amis auxquels ils sont reliés, de voir et de naviguer à travers leurs propres relations et celles faites par les autres utilisateurs. La nature et la nomenclature de ces réseaux peuvent varier d’un site à l’autre. Dans les blogs, nous savons que les réseaux se constituent naturellement entre les utilisateurs.

Christine Rosen, éditrice sénior dans « The New Atlantis« , mentionne dans son article « Amitié virtuelle et le narcissisme«  que : « Nous devrions également prendre note que la tendance est l’abandon du face-à-face pour le contact virtuel et, dans certains cas, une préférence pour le second. Aujourd’hui, beaucoup de nos interactions culturelles, sociales et politiques se tiennent par le biais technologique« 

Effectivement,  pour éviter d’aller à la banque, les gens font leurs transactions par Internet, et pour éviter de se déplacer pour aller dans une librairie, il navigue sur Amazon.com. Dans la même optique, les réseaux sociaux constituent un palliatif commode au manque d’amis réels en donnant la possibilité de former des communautés d’amis virtuels. Ces communications virtuelles peuvent être franchement valorisantes et même aidantes pour plusieurs individus. Que ce soit Facebook, MySpace, LinkedIn, ou autres, plus un réseau social permet la diffusion d’informations entre les utilisateurs qui ne se connaissent pas déjà, plus il est sociable, on parle alors de réseautage.

Quand les gens ont  besoin de se confier, ce sont des amis ou d’une famille qu’ils ont  besoin, leur réseau social réel. Mais, de nos jours le réseau social réel de chaque individu se trouve largement restreint par le fait que le nombre d’enfants par famille est considérablement diminué. Le nombre d’amis réels que chaque individu peut considérer comme tels, se compte facilement sur les doigts d’une main. Pas besoin de références pour le prouver, tout le monde le sait.  Alors, l’intelligence humaine s’est créé un réseau social virtuel, question de survie si on tient compte des 14 besoins fondamentaux de Virginia Henderson, la communication est vitale. « Le besoin de communiquer est une nécessité qu’a l’être humain d’échanger avec ses semblables. Il met en branle un processus dynamique verbal et non verbal permettant à des personnes de se rendre accessibles l’une à l’autre, de parvenir à la mise en commun de sentiments, d’opinions, d’expériences et d’informations« .

À défaut d’une grande famille élargie, les gens bénéficient d’un réseau social enrichi grâce à tous ces sites de réseautage social où ils peuvent se confier à visage découvert ou en toute intimité par l’intermédiaire de pseudonymes. Les commentaires qu’ils reçoivent en retour peuvent donner un sens aux évènements qu’ils vivent ou à ceux qu’ils ont vécus. Le dialogue virtuel ou ces partages de commentaires peuvent même les aider à maîtriser leurs problèmes et à trouver des façons de s’en sortir. On peut facilement qualifier de soins humains cette façon de réconforter le lectorat  par une confidence ou un commentaire. En effet, cette aide à améliorer les conditions de vie est une autre façon de contribuer à une meilleure santé.

Offrir l’occasion d’aider les autres pour un soutien émotif par un simple échange de commentaires, voilà ce qu’un réseau social peut faire pour les gens qui ont besoin de soins humains.

 

Mes sources

http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9seau_social

http://ifcs.jeun.fr/t846-les-14-besoins-fondamentaux-de-virginia-henderson

http://benhur.teluq.uquebec.ca/SPIP/inf6107/spip.php?article=61&rubrique=9

Boyd, DM, et Ellison, NB (2007). Les réseaux sociaux:. Définition, histoire, et l’érudition Journal of Computer-MediatedCommunication,13(1),l’article11. http://jcmc.indiana.edu/vol13/issue1/boyd.ellison.html

Virtual Friendship and the New Narcissism

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Confiance et crédibilité dans les réseaux sociaux

La confiance et la crédibilité font partie de la personne qui juge si une confidence est vraie ou non. Bien sûr, il est plus facile et surtout plus rapide d’y croire que de tenter d’en faire la preuve. De plus, les révélations provenant des réseaux sociaux sont le plus souvent anonymes, donc peu vérifiables.

Mais le besoin d’y croire en toute confiance est justifié par cette nécessité urgente d’avoir un guide ou un exemple à suivre qu’ont  les gens qui vivent  le même genre de situation. Cette consommation rapide de l’information  les amène à se forger une vision,  le plus souvent idéalisée de la vie. Ils se servent des expériences racontées pour se donner du  courage à essayer d’améliorer leur situation comme s’ils recevaient un conseil de soins humains.

Citation du module4« L’émergence des réseaux sociaux sur le web crée une redistribution des normes  de croyance et l’explosion des blogues, par exemple, en a été à la fois la grande cause et la conséquence« 

En effet, le blog fait plus personnel, un peu comme une invitation dans notre salon, endroit propice à la confidence. Ce milieu convivial, même amical, inspire confiance où la crédibilité est l’ingrédient essentiel pour sa réussite.

Source

http://benhur.teluq.uquebec.ca/SPIP/inf6107/spip.php?article=67&rubrique=8

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